#streamcaribbean avec Arnaud Dolmen (4/4)
Yé Moun La ! J’espère que vous allez bien. Aujourd’hui, nous sommes avec Arnaud Dolmen. Dans cette quatrième et ultimepartie, nous avons parlé de la difficulté à se positionner en tant qu’artiste de jazz quand on vient de Guadeloupe et des obstacles à la professionnalisation de nos artistes en général. On a aussi parlé du manque de reconnaissance que les artistes antillais de jazz des premières générations subissent et la difficulté de se libérer des chaînes mentales pour s’affirmer face au monde sans attendre la validation des autres. #streamcaribbean. Bonne écoute.
0:00 - 0:34 : intro + générique
0:35 - 0:54 : présentation des thèmes de la discussion
0:55 - 2:48 : les clichés que doivent affronter les musiciens guadeloupéens
2:49 - 5:33 : son rejet du terme “jazz caribéen” + l’importance d’affirmer sa particularité
5:34 - 7:47 : son avis sur la place des artistes guadeloupéens dans l’histoire musicale française et internationale
7:48 - 9:44 : la nécessité de surmonter notre approche de la musique pour la voir comme un business et créer un écosystème
9:45 - 13:16 : la nécessité de raconter nous-mêmes nos histoires pour mettre en lumière ces grands musiciens. Exemple : la série Netflix The Eddy qui illustre ce problème d’absence de visibilité
13:17 - 14:29 : anecdote sur son premier concert pour “Tonbé Lévé” qui reflète notre difficulté à oser nous mettre en avant
14:30 - 15:34 : l’importance de prendre nos responsabilités et d’agir chacun dans son domaine pour faire changer les choses
15:35 - 17:02 : la difficulté à sortir de cette mentalité pour oser prendre ses responsabilités
17:03 - 19:43 : le manque de valorisation des musiques caribéennes + l’importance du public pour valoriser nos musiques. Exemple avec la K-Pop.
19:44 - 22:22 : les artistes de jazz ont déjà structuré les bases d’un écosystème solide
22:23 - 22:42 : outro + générique