#streamcaribbean - Mythe 2
Yé Moun La! Voici une série de capsule audio dédiée aux mythes autour des artistes antillais. Le but est de réfléchir sur des perspectives différentes dans notre façon de faire de l’art et d’en faire un business. Voici le mythe numéro 2 : les artistes antillais ont besoin de l’industrie française pour créer.
0:00- 0:28 : intro
0:29 - 1:38 : les arguments du 20ème siècle sur l'intérêt d’être signé en major
1:39 - 3:04 : comment s'imposer face à une major ? L'exemple de Kassav’ mis en scène dans “Siméon” d'Euzhan Palcy
3:05 - 3:39 : parallèle avec une relation amoureuse
3:40 - 4:39 : les majors n’ont jamais cherché à développer des artistes caribéens avec leur image caribéenne. Exemple aux États-Unis avec Sean Paul, Rihanna, Spice et Sheensea
4:40 - 6:39 : la politique de l'arène dans les majors et les médias français = promouvoir qu'un seul artiste antillais à la fois. Exemple avec Axel Tony et Nesly,
6:40 - 7:29 : la politique de l'arène en dancehall avec Admiral T et KRYS, puis Kalash
7:30 - 9:59 : la pertinence d’être signé en major post-2020 ? Le cas de Were-Vana.
10:00 - 12:44 : rappel sur le coût financier et psychologique d’une signature en label national
12:45 - 13:31 : conclusion sur les artistes antillais dans leur soixantaine
13:32 - 13:46 : outro