#streamcaribbean - Mythe 3
Yé Moun La! Voici une série de capsule audio dédiée aux mythes autour des artistes antillais. Le but est de réfléchir sur des perspectives différentes dans notre façon de faire de l’art et d’en faire un business. Voici le mythe numéro 2 : les artistes antillais ont besoin des collaborations pour avoir de la visibilité nationale.
0:00 - 0:28: intro
0:28 - 1:44 : “Kolé Séré” de Jocelyne Béroard/Philippe Lavil influence-t-il notre approche de la collaboration au national ?
1:45 - 4:19 : rappel sur le principe de collaboration comme inhérent au Zouk
4:20 - 5:29 : pourquoi la collaboration avec des artistes afrofrançais non-antillais est vue comme une stratégie viable pour avoir de la visibilité nationale
5:30 - 8:05 : définition de la collaboration verticale vs. collaboration horizontale + l'importance d’affirmer son identité artistique en tant qu'artiste antillais
8:06 - 10:21 : rappel sur les musiques urbaines où les artistes antillais sont mis à part alors que des artistes originaires des Antilles ont participé à la construction des musiques urbaines d'aujourd'hui
10:22 - 13:49 : exemple de collaboration horizontale racontée comme une collaboration verticale : Admiral T avec Diam’s
13:50 - 16:59 : ce qui ne fonctionne pas dans notre approche actuelle de la collaboration. Exemple avec Kim
17:00 - 17:59 : comment une collaboration verticale peut tourner en notre défaveur. Exemple : la collaboration Kim et Aya Nakamura
18:00 - 18:59 : comment une collaboration verticale peut tourner en la faveur de l’artiste en besoin de validation. Exemple : les collaborations artistes K-Pop et artistes US
19:00 - 22:44 : perspective sur l'héritage du Zouk et de la dancehall + l'intérêt de collaborer avec les artistes africains et caribéens.
22:45-22:01: outro