Episode 10 - Green Days By The River

Yé Moun La ! Dans l’épisode 10, je vous parle du film trinidabogien Green Days By The River (2017) de Michael Mooleedhar.

0:00 : introduction + générique

0:28 : mise à jour sur ma vie personnelle entre avril et août.

01:45 : mise à jour de mes activités en ligne avec le challenge #readcaribbean et le Focus Karayib de Lorenz.

3:15 : choix du film de l’épisode 10.

Yé Krik Yé Krak

4:00 : présentation du film Green Days By The River + résumé

6:00 : présentation du questionnement de l’épisode : la jeunesse des années 50 et l’indianité dans l’identité caribéenne


0:00 - 0:30 : intro + générique

0:30 - 1:29 : synopsis du film + questionnement de cette connexion caribéenne : quelle est la représentation de la jeunesse des années 1950 ?

Connexion Caribéenne 1

1:30 - 7:00 : rappel de l’absence de représentation de la jeunesse caribéenne dans le paysage audiovisuel français.

7:00 - 9:31 : ce film met en lumière une jeunesse campagnarde.

9:31 - 13:17 : le rite de passage pour un garçon : manier le coutelas pour s’affirmer en tant qu’homme.

13: 18 - 15:10 : le second rite de passage : l’amitié masculine pour traverser le quotidien.

15:11 - 18:40 : le troisième rite de passage : l’alcool pour gérer les problèmes trop lourds à porter.

18:40 - 20:13 : prochaine connexion caribéenne : l’amour comme rite de passage + remerciements + générique de fin

0:00 - 0:30 : intro + générique

0:30 - 2:20 : synopsis du film + questionnement de la connexion caribéenne 2 : comment le triangle amoureux Shelly/Rosalie/Joan/ symbolise-t-il les dynamiques sociales entre communauté afrotrinidadienne et indotrinidadienne dans les années 1950 ?

Connexion caribéenne 2

2:21 - 3:20 : avertissement sur le risque de spoiler sur le dernier rebondissement qui lance l’arc final.

3:20 - 6:05 : analyse du personnage de Rosalie + différences de philosophie de vie entre le père de Rosalie et le père de Shelly.

6:06 - 7:20 : analyse du personnage de Joan + différence de statut social entre la famille de Shelly (afrotrinidadien pauvre et sans éducation), la famille de Rosalie (indotrinidadienne riche mais sans éducation) et la famille de Joan (afrotrinidadienne classe moyenne et éduquée)

7:20 - 8:02 : de l’importance des mots pour désigner les personnes métissées. Exemple avec “dougla”.

8:03 - 10:50 : rappel sur la mise en place de l’immigration indienne au 19ème siècle avec l’engagisme.

10:50 - 13:05 : les différences d’effectif entre communauté indienne en Guadeloupe et communauté indienne à Trinidad and Tobago.

13:06 - 15:04 : point sur les différents termes péjoratifs pour désigner les Caribéens avec un parent indien et un parent noir.

15:05 - 17:55 : l’utilisation des termes dougla/créole/indien/négresse dans Green Days By The River.

17:56 - 20:39 : les enjeux identitaire dans un mariage indien/noir

20:39 - 23:35 : de l’importance de reconnaître l’existence d’une identité indocaribéenne

23:36 - 24:40 : conclusion sur le mouvement de la coolitude.

24:41-25:26 : remerciements + générique de fin

Sources

Thèse de Christian Schnakenbourg, L'immigration indienne en Guadeloupe (1848-1923)

Guy Lasserre, Les Indiens de Guadeloupe, 1953

Pratiques indiennes, pratiques hindoues : espace religieux, identité culturelle et esthétique à la Martinique et à la Guadeloupe

Papa Machete, court-métrage de Jonathan David Kane, 2014

Quand les premiers coolies indiens débarquèrent dans les Antilles

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