#streamcaribbean avec Mano D'iShango (3/4)

Yé Moun La ! J’espère que vous allez bien. Aujourd’hui, nous sommes avec Mano D’iShango. Dans cette troisième partie, nous discutons du potentiel des chansons guadeloupéennes pour plaire à un public non-créolophone. Nous discutons de son intention de montrer que l’industrie musicale guadeloupéenne peut proposer des produits de qualité et en quoi l’industrie caribéenne était précurseur dans la mise en place d’un nouveau business model qui se développe aux Etats-Unis. Je précise que j’ai coupé au montage notre débat d’une vingtaine de minutes sur les enjeux autour de la traduction du créole que vous pouvez retrouver dans un épisode bonus. #streamcaribbean. Bonne écoute.

0:00 - 0:34 : intro + générique

0:35 - 1:11 : présentation des thèmes de la discussion

1:12 - 5:26 : sa collaboration avec Inès Khai

5:27 - 7:02 : “Say Okay”, l’objectif d’encourager les gens à prendre leur destin en mains

7:03 - 10:18 : la narration de “Say Okay” extraite d’un album de 1989 sorti par un collectif en soutien à Joël Nankin incarcéré à l’époque

10:19 - 12:56 : “Adan on Dòt (Mano À Manu)”, hommage à Manu Dibango avec Sylvain Joseph

12:57 - 16:39 :  la qualité des produits culturels de Guadeloupe

16:40 - 21:39 : discussion sur le business model de l’artiste entrepreneur indépendant + savoir monétiser nos produits culturels

21:40 - 26:03 : construire une fanbase dans la diaspora vs. avoir une fanbase locale = exemple de Kassav’ 

26:04 - 26:23 : outro + générique